Depuis le début du confinement, beaucoup de voix se sont élevées pour dénoncer la romantisation de cette situation par et pour les plus privilégiés d’entre nous… et peut-être aussi pour les plus sentimentaux.
Il faut se rendre à l’évidence, quinze jours plus tard, la quarantaine est pourtant loin d’être la période la plus romantique qui soit.
Qu’on soit en couple, à deux ou à plusieurs, avec ou sans enfants, à travailler ou pas, l’amour s’accommode mal avec l’idée de vie conjugale ou familiale, avec l’idée, même, de vie commune ou de vivre-ensemble… on s’en doutait, mais avec le confinement, j’en viens à me demander : en serait-il l’exact opposé ?
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